• Bonjour Frédéric. D’abord merci de m’avoir proposé la lecture de ton livre, Bienvenue dans le monde réel, et de m’avoir fait confiance pour le chroniquer. C’est la première fois que je réalise une interview alors j’espère que les questions seront pertinentes. Allez, on y va !

     

    Pour commencer, pourrais-tu te présenter en quelques mots et nous donner une idée de qui est Frédéric Marcou.

    Bonjour, difficile de se définir en quelques mots, mais pour faire simple, je suis écrivain amateur depuis l’age de 28 ans et j’ai 44 ans. Je suis aussi membre du bureau de L’Association Haut-Marnaise d’Écrivain.(A.H.M.E) et je suis pacsé.

     

    Ensuite, parlons de ton lien avec l’écriture. Quand as-tu commencé à écrire ?

    J’ai réellement débuté à vingt ans, une nouvelle que j’ai écrite, mais je l’ai jugé trop mauvaise et j’ai jeté le papier, j’avais honte. J’ai réellement osé sur le tard vers 28 ans, peut-être avec un peu plus de maturité.

     

    Si on peut supposer que tu t’es pris pour le dieu des fourmis au cours de ta jeunesse, as-tu entretenu un lien particulier avec la littérature au cours de ta jeunesse ? Quelques auteurs t’ont peut-être marqué ?

    Puisque l’on parle de ma jeunesse, il est évident qu’à l’époque, mon argent de poche passait dans les BD’s donc Hergé, Goscinny, Greg ont été de grands inspirateurs et le sont encore, vers l’adolescence je me suis tourné vers la Science-Fiction, R.A.Salvatore m’a beaucoup marqué, Philip K.Dick aussi et d’autres.(Bradbury…)

     

    Bernard Werber, que tu connais peut-être, a dit « On souffre dans sa vie donc on a besoin d’en parler par écrit pour prendre le monde à témoin. » Il considère que la souffrance est une des principales sources d’inspiration pour un auteur. Bienvenue dans le monde réel ne semble pas le faire mentir. Peux-tu nous en dire davantage ?

    Il y a eu une période dans ma vie où j’étais effectivement confronté à moi-même et à mes propres souffrances venant du passé, difficile, très difficile sûrement, mais a priori, j’ai survécu.

     

    J’ai vu que tu avais écrit d’autres ouvrages. Est-ce que Bienvenue dans le monde réel ressemble à tes autres œuvres ou est-ce que chacune de tes créations possède un univers et un cadre qui lui appartient et qui se distingue des autres ?

    Ils sont tous différents, par contre, je ne peux dénier un penchant naturel pour la poésie en prose.

     

    Lorsque l’on écrit, nous ne sommes pas forcément tous animés de la même étincelle. Quelle est ton étincelle ? Qu’est-ce qui te pousse à t’exprimer ?

    C’est un moyen de m’exprimer artistiquement, de créer qui me pousse, mais aussi une manière de tirer un trait sur mon histoire personnelle.

     

    On te sent attiré par l’humour, la poésie mais aussi l’auto-biographie. Quel est le genre qui te caractérise ?

    Sans hésiter la poésie en prose, mais je m’essaie à tous les genres, j’aime la nouveauté et les nouvelles difficultés.

     

    As-tu d’autres projets en cours ?

    Oui, plusieurs, un recueil de poème intitulé « le rêve du poète » avec des photos, il est presque finalisé, puis de nouveau un recueil de nouvelles et peut-être après un journal…

     

    On va aborder un sujet plus matériel. Je n’ai pas pris le temps de vérifier pour chacun de tes livres mais si je ne me trompe pas, tu as pris le choix de publier toi-même tes livres. Y a-t-il une raison particulière ?

    Je n’ai pas rencontré un éditeur sérieux, les propositions étaient douteuses et l’auto-édition me permet de garder ma liberté.

     

    Ressens-tu une émotion particulière lorsque quelqu’un lit un de tes livres ou lorsque tu découvres une chronique ?

    Oh oui ! L’exaltation ! Mais aussi le sens de la mesure, car je ne suis pas à l’abri d’avoir une mauvaise note (je ne peux pas plaire à tous).

     

    As-tu un lecteur privilégié dans ton entourage ?

    Oui, une personne âgée qui aime particulièrement ma poésie en prose et me le fait savoir.

     

    Si tu étais un livre, ou un personnage de roman, qui serais-tu Frédéric Marcou ?

    Pas facile ça. J’admets que je ne m’identifie ni à un livre ni à un personnage de roman.

     

    L’écriture est-elle ton activité principale ? Exerces-tu une profession ou d’autres passions ?

    Oui, l’écriture est mon activité principale et pour moi, c’est un métier, mais à mon niveau -modeste- il ne rapporte pas d’argent.

     

    Enfin, je te laisse le mot de la fin. Tu as carte blanche.

    Juste quelques mots sur mon travail d’écrivain amateur, je fais des salons depuis sept ans maintenant et cette année, j’ai coorganisé un salon avec L’A.H.M.E. et maintenant grâce à lui, simplement, je gère ma promotion. J’aime ce que je fais. J’ai trouvé vos questions très pertinentes.

     

    Merci à Frédéric marcou qui a joué le jeu ! Meilleurs voeux pour la suite de ses écrits et plein de réussite dans sa carrière d'écrivain ! Que l'inspiration soit avec lui !

    Frédéric Marcou sur Amazon


    1 commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique